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Introduction Le bonheur, pour l'opinion, réside dans la satisfaction des désirs nous procurant du plaisir, ce qui sous-entendrait que pour être heureux, il suffirait d'accumuler le maximum de plaisirs possibles. Un tel point de vue rend donc légitime, puisque le bonheur vise notre bien, la mise en oeuvre accentuée de la recherche de plaisirs. Et dès lors se demander si l'on doit tout faire pour être heureux, c'est s'attendre à une réponse positive. Cependant, la question prend une toute autre tournure dès lors que l'on comprend que le "doit-on", ramène à l'idée de devoir et d'impératif. Ainsi, la question devient plus problématique puisqu'elle devient Faut-il faire de la recherche de plaisirs un impératif ? Mais nos conclusions depuis le début sont peut-être erronées car nous concevons le bonheur comme obtention de plaisirs, or, ce qui différencie le bonheur du plaisir, c'est que le bonheur est durable et constant, tandis que le plaisir est de courte durée et éphémère. Ainsi, deux problèmes se posent désormais ; que le bonheur soit l'obtention de plaisirs, et nous pouvons croire qu'il s'agit d'une illusion. Et d'autre part, que le bonheur signifie plénitude et pleine satisfaction des désirs de manière durable, et nous pouvons nous interroger sur sa possibilité. Le problème que nous sommes en train de mettre en évidence contient une troisième dimension, car devoir "tout faire" pour être heureux, s'oppose nécessairement au bonheur lui-même, puisque le fait de "tout faire" semble réclamer un effort constant. Or le bonheur semble plutôt être un état dans lequel la satisfaction est telle que l'on a plus rien à mettre en oeuvre. Nous nous demanderons donc dans un premier temps si la recherche de plaisirs est forcément à exclure. Puis nous nous demanderons dans un second temps si cette recherche n'est pas finalement un obstacle à la paix spirituelle. Enfin, nous nous demanderons si tous ces éléments ne font pas du bonheur un idéal de l'imagination. I. Le bonheur comme recherche de plaisirs populaire du bonheur Si l'on parcourais les rues pour interroger la gens sur ce qu'est le bonheur, les réponses convergeraient toutes vers l'universel être heureux, c'est avoir telle ou telle chose, être riche, célèbre et en bonne santé. Ainsi, le bonheur résiderait uniquement dans l'acquisition de biens matériels et dans la santé physique pour être apte à en profiter sans contrainte. Rien de mauvais à priori dans cette conception puisqu'elle vise le bien propre de l'individu qui veut tout à fait normalement être satisfait. Il faudrait donc tout mettre en oeuvre pour obtenir les éléments nous permettant d'être heureux. 2. La recherche de plaisirs comme nécessité pour l'homme D'autre part, on peut voir en la recherche de plaisirs une règle de vie nécessaire pour tout homme puisque nous ne recherchons rien d'autre que notre propre bien. Une telle conception fut défendue par l'hédonisme incarnée par les cyrénaïques en Grèce. Selon cette doctrine, le plaisir est le Souverain Bien de l'homme, et sa recherche doit passer avant même la morale. Etant doué de sensibilité, on peut concevoir que l'homme vive pour se procurer un maximum de plaisirs possibles. Et puis, étant donné que pour l'hédonisme, le plaisir est le Souverain Bien de l'homme, il représente le bonheur. En somme, il faut sans cesse aller vers ce qui peut nous procurer du plaisir. 3. "Le désir est l'essence même de l'homme" Tous les hommes font l'expérience du désir, et il se peut même que le désir vise des objets insensés ou immoraux, mais faut-il pour autant le condamner ? A cette question, Spinoza répondrait non, bien au contraire, pour lui, il ne faut pas s'opposer à ses propres désirs, car ce serait aller contre soi-même. Pour mieux saisir la pensée de Spinoza, il faut retourner vers son fondement. Spinoza, est dans l'histoire de la philosophie, un des auteurs dont la pensée s'éloigne le plus du commun des philosophes, puisqu'il pose le panthéisme comme base de sa philosophie. Selon cette conception, Dieu n'est pas un être transcendant, c'est à dire qui s'élève au-dessus du monde, mais il est immanent, c'est à dire qu'il est dans le monde, en fait, pour Spinoza, Dieu est égale nature. Or, Dieu ne crée pas le monde dit Spinoza, ce qu'il génère, c'est lui-même, et l'homme en fait partie. Et puisque Dieu est en la nature, et que l'homme fait partie de la nature, et participe à l'infini intelligence de Dieu, dit-il, il ne faut pas qu'il aille contre ses désirs puisqu’à travers eux, c'est Dieu, donc la nature qui essaie de se réaliser elle-même et par la même occasion, l'homme se réalise lui aussi. En somme, dit Spinoza, il faut satisfaire nos désirs, aller vers eux, et chercher ce qui est bon et utile pour nous. Transition Ainsi, comme nous venons de le montrer, le bonheur tel qu'il est conçu pour l'opinion, réside dans l'acquisition de tout ce que l'on désire et dans l'accumulation de plaisirs. Avec Spinoza, nous avons même accordé une valeur à l'action et la mise en oeuvre de l'accomplissement des désirs puisqu'ils constituent l'essence même de notre être. Mais faire passer l'accession au bonheur pour une recherche perpétuelle de ce qui nous fait du bien et nous procure du plaisir c'est se tromper sur la véritable nature du bonheur. Le bonheur désigne un sentiment de plénitude et de satisfaction, non seulement physique, mais également spirituelle. Or, peut-être qu'à trop chercher ce sentiment, et en le confondant avec le plaisir, on s'assure de ne jamais être heureux justement, et même au contraire d'être malheureux en troublant notre esprit en l'obsédant, c'est ce que nous allons désormais mettre en évidence. II. La recherche perpétuelle du bonheur conduit au malheur 1. L'Insatiabilité du désir d'être heureux Si l'on prend l'exemple d'un accro à la drogue, on peut mettre en évidence le problème de la recherche du bonheur, car, finalement, le drogué ne recherche rien d'autre que d'être heureux. Et en prenant de la drogue, il constate qu'il atteint finalement une certaine forme de bonheur que seule ces drogues peuvent lui offrir. Mais le problème qui se pose, c'est que le drogué est toujours à un moment donné rattrapé par ce que Freud appelle le "principe de réalité", c'est à dire qu'il doit redescendre sur terre et souffrir. Souffrir parce que de la satisfaction passé naît le regret qui provoque de nouveau le désir de recommencer. Or, comme on peut le constater, au fur et à mesure, l'obsession s'installe et plonge notre drogué dans la folie, c'est à dire que son esprit devient incapable de se soucier d'autre chose que de la recherche de satisfaction, et donc ne trouve jamais le bonheur tant recherché. C'est d'ailleurs ainsi que le voyait Platon dans le Banquet, en comparant l'homme qui désire au tonneau percé des danaïdes de la mythologie grecque, qui se vide au fur et à mesure que l'on essaye de le remplir. Ainsi, l'homme qui désire est condamné à être insatisfait. 2. Le caractère paradoxal du désir Le désir, tout en étant insatiable possède également un caractère paradoxal. C'est ainsi que l'a montré Schopenhauer dans le monde comme volonté et comme représentation, en expliquant que l'homme est poussé par son "vouloir-vivre", c'est à dire une force inconsciente qui le broie et qui le pousse lui et tous les êtres vivant à persévérer dans leur être. Cette force s'incarnant dans le désir selon Schopenhauer, détruit l'homme qui désire et le condamne à la perpétuelle souffrance. En effet, il démontre que le désir, tant qu'il n'est pas satisfait, nous rend malheureux, mais que dès lors qu'il est satisfait, il nous fait aussi souffrir puisqu'il nous plonge dans l'ennui. Pour Schopenhauer, si l'on ne veut pas souffrir, il faut renoncer à tous ses désirs. dépend peut-être de nous d'être heureux Les sagesses antiques, elles, moins radicales que Schopenhauer, préconisaient la limitation et le contrôle du désir. Ainsi, pour le stoïcisme notamment, il faut désirer dans les limites du raisonnable. Dans un monde déterminé par un ordre nécessaire, pour les stoïciens, à chercher à satisfaire des désirs déraisonnables, on se condamne d'avance au malheur puisque l'ordre du monde est déjà tracé et déterminé. Tout ce que nous pouvons faire selon les stoïciens, c'est accepter l'ordre du monde, et comprendre que certaines choses ne dépendent pas de nous. Du côté des épicuriens, c'est à peu près pareil, on nous conseille de désirer de manière raisonnable, de satisfaire les désirs strictement naturels et nécessaires comme manger et boire, car ils peuvent être satisfaits, et renoncer aux désirs ni naturels, ni nécessaires comme désirer l'honneur, la richesse et la gloire, qui nous illusionnent sur la réalité. C'est ainsi qu’Épictète grand stoïcien, dans le Manuel, en arrive à la conclusion qu'il dépend de nous d'être heureux. Pour lui, une fois que l'on a saisi l'ordre du monde et qu'on l'accepte, on devient apte à choisir d'être heureux, c'est à nous de choisir si même malades, nous sommes heureux ou non, puisque la santé ne dépend pas de nous selon lui. Si tu veux être heureux, dit Épictète, ne veuille pas que les choses arrivent comme tu le désire, mais veuille qu'elles arrivent comme elles sont. Transition De la recherche du bonheur à la perpétuelle souffrance, il semble n'y avoir qu'un pas comme nous venons de le voir, ainsi, y renoncer, ou se contenter, comme le préconise les sagesse antiques, du stricte nécessaire dans les limites du raisonnable, semble être la seule solution. Faire du bonheur la satisfaction de ce qui est possible, semble être tout ce que nous pouvons faire. Mais limiter le bonheur à l'acceptation d'un ordre déjà tracé, ou à la satisfaction des "désirs naturels", qui semblent plutôt s'apparenter au besoin, n'est-ce pas également se tromper sur la nature du bonheur ? Car si le bonheur se limitait à ça, le désir disparaîtrait dès lors que l'on commencerait à vivre selon les règles des sagesses antiques, or, on le sait bien, un tel bonheur relève de l'illusion. Mais comment expliquer dès lors que l'idée de bonheur soit bien présente en nous ? bonheur comme idéal de l'imagination 1. On ne peut pas expliquer ce qui peut nous rendre heureux L'atteinte du bonheur, est bien une visée et un but pour tout homme, d'ailleurs, comme le disait Pascal, "tous les hommes recherchent d'être heureux", mais peut-on vraiment dire ce qu'est le bonheur ? Peut-on décrire ce qui peut nous satisfaire ? Emmanuel Kant montre que non, car le bonheur ne se situe nul part selon lui, si ce n'est dans notre imagination. Ainsi, selon Kant, si le bonheur est inexplicable, c'est qu'il s'agit en réalité, d'un idéal contenu dans notre esprit, d'un idéal de notre imagination. Notre raison, selon Kant, nous dit comment éviter d'être malheureux, mais pas comment être heureux. 2. Le devoir moral suppose qu'on ne cherche pas à être heureux En cherchant à être heureux, dit Kant, c'est à dire à être satisfait, on place nos intérêts avant ceux d'autrui, et on va par conséquent à l'encontre de la morale, qui suppose que l'on passe à côté des désirs, et qu'on humilie en nous, notre sensibilité et nos penchants naturels. Pour Kant,on ne peut pas agir moralement et rechercher le bonheur en même temps, car être moral, c'est faire passer l'impératif de la moralité avant la recherche du bonheur, et agir de telle sorte, dit Kant, que l'on traite l'humanité en sa propre personne, comme en celle des autres, toujours en même temps comme une fin, et jamais seulement comme un moyen. Ainsi, mettre de côté mes intérêts et faire passer ceux d'autrui avant, doit être le seul impératif à respecter dans la vie. 3. Faut-il pour autant renoncer au bonheur ? En voyant ce qu'impose la morale kantienne, on se dit immédiatement qu'il faut renoncer au bonheur pour être moral, pourtant à cette affirmation Kant répond non, car une telle morale serait inhumaine. C'est dans la nature de l'homme de chercher à être heureux, mais puisque devoir et bonheur son incompatibles sur Terre, je ne peux, selon Kant qu'espérer être heureux plus tard, et ailleurs, si et seulement si j'ai eu une vie droite et morale qui m'en rend digne. Pour être digne d'être heureux, dit Kant, il faut faire son devoir sans chercher à l'être, tout en espérant qu'il y ait un Dieu juste et bon qui nous accordera le Souverain Bien après la mort. Bien qu'on ne puisse pas démontrer que Dieu existe, ni que l'âme est immortelle, il reste nécessaire selon Kant, de poser l'existence de Dieu, pour ne pas désespérer de la morale. C'est d'ailleurs ainsi que le démontre Pascal dans les Pensées, les objets qui pourraient nous satisfaire, sont trop limités sur Terre, et en cherchant à être heureux sur Terre, on risque bien au contraire en ce sens, d'être malheureux, c'est pourquoi Pascal, pose la nécessité d'un Dieu, qui lui seul, est assez puissant pour satisfaire tous les hommes au paradis, après une vie morale, basée sur la foi. Conclusion Comme nous l'avons vu dans un premier temps, le désir, comme il constitue l'essence même de l'homme, doit être satisfait, car ne pas le satisfaire serait aller contre soi-même. Mais nous avons vu dans un second temps que la volonté perpétuelle de satisfaction, peut laisser la place à l'obsession, et à l'oubli de la morale, qui impose justement, qu'on ne cherche pas à être heureux. C'est ainsi que dans un dernier temps, à travers la pensée de Kant, nous avons montré qu'une vie morale, ne signifiait pas nécessairement le renoncement au bonheur, puisqu'en posant l'existence d'un Dieu bon et juste, on devenait digne d'être heureux dans un hypothétique au-delà. En somme, puisque le devoir morale suppose qu'on ne cherche pas à être heureux, il ne faut pas tout faire pour l'être, mais s'en rendre digne, et finalement, on le comprend, l'impératif auquel il faut obéir, n'est pas la recherche du bonheur, mais l'impératif catégorique de la morale, qui nous impose d'agir toujours moralement, en faisant passer les intérêts d'autrui avant les nôtres.
Psaumes14 : 2 « L'Éternel, du haut des cieux, regarde les fils de l'homme, Pour voir s'il y a quelqu'un qui soit intelligent, Qui cherche Dieu.. Dans Genèse 6, les hommes commencèrent à se multiplier sur toute la surface de la terre.Les hommes étaient tout le temps rebelles à Dieu et de détournaient sans cesse de Ses commandements. Toutes les pensées de leur cœur se
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Ledeal à ne pas rater : LE FORUM DES ARTS DIVINATOIRES :: LA VOYANCE :: FAITES VOS DEMANDES A FRANCK : bonjour Franck, 2 participants. Auteur Message; marieno. Nombre de messages: 85 Date d'inscription : 07/11/2006: Sujet: bonjour Franck, Lun 22 Sep - 22:58: je suis marie-noelle née le 18.12.1955 j'ai discuté avec kriss l'année dernière à cause de
Introduction S'il existe bien une chose dans notre société que les Hommes cherchent mutuellement à atteindre, c'est sans nul doute l'accès au bonheur et l'ascension vers un état de satisfaction. Ce but commun est recherché tout au long de la vie donnant ainsi un sens et une cohérence à notre existence. Car rendant alors le malheur possible, l'individu est amené par exemple, à travailler pour ne pas souffrir des conditions de la faim ou de la soif, à adapter son comportement et à suivre un ensemble de règles pour ne pas nuire au bonheur des autres et par la même occasion au sien, en risquant l'enfermement... Pour autant, dépend-il de nous d'être heureux ? Notre bonheur est-il lié au bonheur des autres ? Quels sont les chemins qui mènent au bonheur ? Peut-on désirer le malheur ? Pour proposer quelques éléments de réponse à ces différents problèmes, nous choisirons d'organiser notre réflexion autour de deux thèses distinctes. La première consistera à se préoccuper de la manière avec laquelle la volonté individuelle et l'esprit de progression amène l'individu à accéder au bonheur. Nous en viendrons ensuite sur ce pourquoi être heureux ne peut-être atteint uniquement en se souciant de soi-même... Les meilleurs professeurs de Philosophie disponibles4,9 17 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 77 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 77 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !C'est partiPremière partie En philosophie cours, pour accéder au bonheur, il est généralement nécessaire de se soumettre à un certain nombre de modalités. Le bonheur n'étant pas une chose s'atteignant facilement il est primordial de se donner les moyens de réussir dans la vie et de s'efforcer de progresser dans ce que l'on fait. C'est souvent en allant au-delà de soi-même que l'on finit par subsister à ses besoins matérielles et à assouvir ses désirs. L'achat d'une très belle voiture nécessite par exemple d'appartenir à un rang social plus que modeste et d'avoir fourni un effort conséquent en matière de travail. Se donner des objectifs est donc en somme, une porte permettant de découvrir le bonheur. Cette ambition peut par exemple porter sur des choses singulières comme le fait de voir ses enfants grandir et de fonder une famille ou au contraire prendre des tournures plus atypique comme devenir riche ou connu. Car en effet, sans la moindre envie et sans la moindre revendication, quelles peuvent bien être encore les choses que la vie puisse nous apporter ? Si l'on se fie au point de vu Bouddhiste, nous pouvons distinguer deux sortes de bonheur le bonheur spirituel et le bonheur matériel. Attardons nous uniquement sur l'aspect spirituel. Selon eux, ce type de bonheur ne s'obtient que par la pratique de la méditation, il nous apporte la paix et la tranquillité intérieur. Pour l'obtenir, nous devons être vigilants dans nos actions, nos paroles et nos pensées, ceci à tout moment de notre vie. Ce bonheur permanent, inconditionnel, nous aide à changer nos attitudes, nos pensées ainsi que la perception objective des situations qu'il est possible de rencontrer dans une existence. Les paroles du Bouddha revêts par ailleurs une sorte de définition du bonheur Ne faites pas des choses dont vous pourriez vous repentir plus tard. Si vous faites des choses bonnes, utiles et favorables, vous aurez du bonheur maintenant, demain et pour toujours ». Nous sommes donc maître de notre corps, capitaine de notre âme... Seul notre comportement et nos bonnes actions peuvent permettre de pouvoir un jour accéder au bonheur et le garder indéfiniment... Pour devenir heureux, il est également important de trouver du plaisir et de la joie dans ce que l'on accomplie. Cette première forme de bonheur permet d'associer un caractère agréable en complément d'un sens à la vie. Car finalement, c'est dans ces moments-là que l'Homme commence à craindre la mort et semble ne manquer de rien... En outre, si nous devions réellement réfléchir sur les raisons qui poussent les individus à suivre des chemins menant au bonheur comme la prospérité ou la célébrité, nous pourrions nourrir l'hypothèse selon laquelle les Hommes cherchent particulièrement à se montrer nécessaires aux regards des autres. Ils aiment se faire désirer et se faire envier car ils sont ainsi assujettis d'une sensation de puissance et se sentent tenus dans un cercle très fermé. Selon moi, on ne peut connaître de plus grand bonheur que de parvenir à bâtir un empire en partant de rien. Outre le fait de posséder un capital financier important, cela signifie finalement que l'on est parvenu à offrir au monde un produit ou des services qu'il nécessitait. Par notre simple travail, nous avons réussi à aider les autres et à leur donner ce qu'ils n'avaient auparavant pas réussi à avoir... Nous nous sommes dépassé... C'est dans cette idée d'utilité que l'Homme se sent heureux... Deuxième partie Le bonheur revêt donc des aspects qui ne dépendent finalement que de nous. Pour autant, on ne pourrait se contenter de matérialiser le bonheur. Cette sensation émerge souvent de causes bien plus complexe que l'on peut trouver par exemple dans des choses toutes simple comme la famille ou l'amitié. Si nous réfléchissions pour commencer sur ce en quoi le bonheur ne dépend pas uniquement de notre personne, nous pourrions expliquer que ce dernier est le résultat d'un contact mutuel et plaisant avec les autres. Peu nombreux sont les êtres qui parviennent à trouver la tranquillité et la plaisir dans la solitude car sans le moindre soutien, sans le moindre rapprochement, on finit par se sentir bien seul et par découvrir le malheur... Un bon exemple serait de citer le film Into the Wild de Sean Penn qui offre une bien belle leçon de vie et sans doute une excellente définition du bonheur. L'histoire raconte le trajet d'un jeune étudiant brillant, promis à un avenir gracieux. Rejetant les principes de la société moderne, il décide finalement de suivre un long voyage vers l'Alaska pour y trouver la solitude et la paix spirituelle. Après de longs moments, il finira par succomber à la tranquillité intérieure mais adviendra à la conclusion, juste avant de mourir des suites d'une intoxication alimentaire, que le bonheur n'est réel que s'il est partagé ». Les autres ont donc un impact décisif sur notre moral et sur le fait d'être heureux... Nous pourrions également affirmer que l'on ne peut atteindre le bonheur que dans le cadre où l'individu dispose d'une certaine liberté dans ces choix et dans ces décisions. Le Meilleur des Mondes » de Huxley, nous dessine un régime totalitaire à la limite de la tyrannie, cherchant à imposer ses idées et à contrôler la vie de chaque être. En utilisant de nombreuses théories et procédés scientifiques, l'État mondial le gouvernement du récit » parvient à entraver le développement des foeutus pour constituer différentes classes sociales. Ils conditionnent également les personnes dès leurs plus jeunes âges pour leur imposer des doctrines et des valeurs concernant la sexualité ou le bon comportement » à adopter en société pour les uns et pour les autres. Au final, tous les hommes vivent heureux, se contentent de leur situation et n'envient pas les autres. Pour autant, on comprend vite que ce type de contrôle est une entrave à la liberté et que ces personnes ne connaissent pas réellement le bonheur car ils n'ont pu exercer par eux-même leurs propres décisions et ne portent pas un jugement subjectif. Le bonheur ne serait donc atteint qu'au détriment d'une certaine liberté... Aussi, pour être heureux, il est nécessaire que tous les individus auxquels nous tenons et sommes liés ne connaissent de problèmes majeures et n'endurent pas des maux graves. En effet, comment un Homme peut-il espérer être heureux lorsque les gens qu'il aime ne le sont pas ? Le bonheur ne s'accède donc pas uniquement de manière individuelle, c'est une notion collective qui nécessite que la personne vivent dans un environnement sain et convivial avec ces proches... Conclusion Ainsi il ne dépend pas uniquement de nous d'être heureux. Même si le travail et la réussite individuelle peut permettre d'accéder à des bonheurs matériels, nous devons en revanche prendre soin les uns des autres sans quoi nous finirons par endurer mutuellement le malheur. L'homme seul et sans soutien ne peut espérer concourir à quoi que ce soit. Pour conclure et pour généraliser sur un chemin conduisant au bonheur, il est essentiel que l'individu se fixe des objectifs, allant des plus singuliers aux plus complexes, et s'attarde à prendre du plaisir dans ce qu'il fait. Nous n'avons qu'une vie alors, travaillons ensemble et donnons-nous le plaisir de réussir...
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Le bonheur paraît être une notion connue de tous tout le monde en a déjà fait l'expérience ou, du moins, tout le monde désire être heureux. Pourtant, chacun met sous ce nom des réalités très différentes. Il faut donc se demander s'il est possible de s'accorder sur sa définition et sur les moyens de l'atteindre. Ce travail sur le bonheur implique également une étude de la notion de désir. En effet, la réalisation des désirs est souvent considérée comme l'un des éléments nécessaires au bonheur. Cette idée ne va pas sans difficultés si le désir est un mouvement qui pousse les individus vers des objets alors que le bonheur est un état stable et durable de bien-être, bonheur et désir sont peut-être contradictoires. ILe bonheur comme tentative de satisfaire tous les désirs S'accorder sur une définition du bonheur n'est pas aisé, mais on considère parfois que le bonheur est atteint avec la réalisation de tous les désirs. Pourtant, le désir est souvent un obstacle au bonheur. Il semble finalement impossible d'atteindre le bonheur en satisfaisant tous les désirs de l'être humain. ALa difficulté de définir le bonheur La première difficulté, lorsque l'on réfléchit au bonheur, est de savoir si l'on peut s'accorder sur sa définition. Le bonheur est un état durable de bien-être éprouvé par un individu, souvent compris comme l'état dans lequel tous les besoins et désirs de l'homme sont satisfaits. Toutefois, cette définition pose problème, elle repose sur l'expérience de chacun. Communément, on pense que ce qui fait le bonheur est une affaire privée, subjective. Chacun pourrait ainsi déterminer ce qu'est le bonheur selon ses préférences et ses goûts. Mais si chacun détermine le bonheur selon sa préférence, il devient difficile de savoir si le bonheur lui-même est vraiment atteint. Autrement dit, s'il n'y a pas de définition du bonheur sur laquelle s'entendre, on ne peut être certain de l'avoir atteint, car le vrai bonheur pourrait être un sentiment plus fort, plus durable, ou plus intense. C'est ce que souligne le philosophe Emmanuel Kant le concept de bonheur est indéterminé car il est empirique, c'est-à-dire qu'il est défini par l'expérience de chacun. Empirique On dit d'une chose qu'elle est empirique lorsqu'elle repose entièrement sur l' du bonheur qu'il est empirique revient à dire qu'il repose sur l'expérience que chaque individu en fait. Ainsi, l'un trouvera son bonheur dans la pratique d'un sport, l'autre dans la lecture, etc. Par malheur, le concept du bonheur est un concept si indéterminé que, malgré le désir qu'a tout homme d'arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et cohérents ce que véritablement il désire et il veut. »Fondements de la métaphysique des mœursToute tentative de définition du bonheur est donc contestable, et cela a pour conséquence qu'il est impossible de savoir comment y accéder. BLe désir comme obstacle au bonheur Le désir semble plutôt un obstacle au bonheur, car il est illimité et mène à la souffrance. 1Le caractère illimité du désir Le désir est une force violente qui pousse l'être humain à trouver une satisfaction. Le désir peut être illimité, l'homme veut toujours plus, ce qui s'oppose à l'idée même du bonheur, un état de plénitude et de satisfaction. Le bonheur et le désir sont deux notions qui s'opposent Le désir est un mouvement qui porte les hommes à vouloir posséder quelque chose, ou atteindre un but, qui devront leur procurer une satisfaction. C'est donc un état caractérisé par un sentiment de manque et de privation. À l'inverse, le bonheur est un état durable de plénitude, de bien-être, de satisfaction. Il semble a priori difficile de lier ces deux notions dont les définitions s'opposent. Désir Le désir est une force psychique qui pousse l'individu vers un objet l'objet du désir. On distingue par ailleurs le désir et le besoin Le besoin est animal se reproduire, se nourrir, dormir, etc.. Il dépend du corps seul et trouve donc sa satisfaction dans un acte ou un objet précis. Le désir se déploie dans l'imagination et non dans la réalité. Contrairement au besoin physique, le désir dépend de la capacité de l'homme à se projeter et à se représenter consciemment un objet désiré, malgré son absence. Le désir est donc propre à l'homme il fait partie de ce qui définit notre humanité. Le fait de manger permet d'illustrer la différence entre le besoin et le désir Manger lorsque l'on a faim permet de satisfaire un besoin primaire. Une fois que l'on a mangé, le besoin disparaît. Manger par désir relève de la gourmandise. Une fois que la gourmandise est satisfaite par un objet, elle ne s'arrête pas et se porte sur un nouvel objet. Ce qui pose problème avec le désir, c'est son caractère illimité dès qu'un désir est satisfait, de nouveaux désirs naissent tout de suite après. L'image du tonneau percé de Platon Dans Gorgias, Platon utilise l'image des tonneaux percés pour montrer qu'une vie de plaisirs ne peut pas permettre d'accéder au bonheur. En effet, puisque le propre du désir est de renaître sans cesse, chercher à être heureux en cumulant les plaisirs reviendrait à remplir des tonneaux percés des mets les plus fins ceux-ci ne seraient jamais remplis et la quête de leur contenu serait infinie. 2Le désir menant à la souffrance L'image des tonneaux percés permet de montrer que le mécanisme du désir ne peut mener au bonheur tenter d'être heureux en satisfaisant tous ses désirs revient ainsi à passer toute sa vie à courir après le bonheur, sans jamais l'atteindre. Le désir mène finalement plutôt à la souffrance. Le mythe des androgynes Pour illustrer l'origine du désir amoureux, par exemple, Platon utilise le mythe des androgynes dans Le Banquet. Il raconte que les dieux avaient créé au départ trois espèces les hommes, les femmes et les androgynes mi-hommes, mi-femmes. Chaque androgyne possédait quatre bras, quatre jambes, deux têtes, et avait la forme d'une boule qui roulait pour se déplacer. Un jour, ces individus partirent à l'assaut du ciel et du royaume des dieux. Pour les punir, les dieux décidèrent de les couper en deux. Depuis ce jour, chaque moitié recherche l'autre désespérément afin de reconstituer l'unité perdue. Ce mythe illustre l'idée que tout désir serait une poursuite désespérée d'un idéal. Le désir fait partie de l'origine et de l'essence des êtres humains et se cache derrière chacun de leurs actes. L'insatiabilité du désir est ce qui en fait une souffrance il renaît sans cesse et l'impossibilité de le satisfaire conduit au malheur. Autrement dit, le plaisir engendré quand on satisfait un désir n'est qu'éphémère tandis que la souffrance est constante. C'est ce que met en évidence le philosophe Arthur Schopenhauer. Schopenhauer montre que le désir fait de l'existence une souffrance perpétuelle. En effet, quand on désire quelque chose que l'on n'a pas, on souffre de ne pas l'avoir. Mais si on finit par l'obtenir, la satisfaction n'est que momentanée très vite, on veut satisfaire un nouveau désir. Le désir semble donc être un mouvement sans fin, qui conduit l'homme à la souffrance plutôt qu'au bonheur. Le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir. Comme une aumône qu'on jette à un mendiant, elle lui sauve la vie aujourd'hui pour prolonger sa misère jusqu'à demain. La vie donc oscille, comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui. »Le Monde comme volonté et comme représentation CL'impossibilité d'atteindre le bonheur par la satisfaction de tous les désirs On en vient à affirmer qu'il est impossible d'atteindre le bonheur par la satisfaction de tous les désirs. Ils sont trop variés, trop multiples pour pouvoir être tous satisfaits. Il existe un décalage trop grand entre la multiplication des désirs, notamment dans les sociétés de consommation, et les moyens auxquels les individus ont accès pour les satisfaire. C'est ce qu'illustre Jean-Jacques Rousseau lorsqu'il pense la différence entre l'homme à l'état de nature et l'homme en société. L'homme à l'état de nature selon Rousseau Dans le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes, Rousseau décrit l'état de nature. Dans cet état fictif, les hommes étaient solitaires, sans souci d'autrui, et avaient pour seule préoccupation la satisfaction de leurs besoins naturels. L'homme était alors heureux car il pouvait aisément satisfaire tous ses au contraire une fois que la société a été créée que les désirs se sont multipliés, créant un décalage entre les moyens dont disposent les hommes pour les satisfaire et le nombre de leurs désirs. Même si l'état de nature n'a jamais existé, Rousseau l'évoque pour montrer que les désirs ont été créés par la société. Si l'homme veut être heureux, il doit tenter de retrouver une certaine simplicité dans son existence. Le bonheur, pensé comme un état durable, ne peut donc pas être atteint par la satisfaction de tous les désirs, inventés par la société humaine. IILes conceptions antiques du bonheur Dans l'Antiquité, le bonheur constitue le Souverain Bien, c'est-à-dire le but que doit poursuivre tout homme. On retient souvent deux grandes visions du bonheur le bonheur épicurien et le bonheur stoïcien. Souverain Bien Le Souverain Bien est le bien le plus haut, c'est-à-dire la fin ultime de toute activité humaine. Il est souvent identifié au bonheur. ALe bonheur épicurien Pour les épicuriens, et en particulier pour Épicure, le Souverain Bien consiste en une absence de trouble dans le corps et dans l'âme ; on retrouve donc l'idée que le bonheur est un état stable. Le bonheur chez les épicuriens correspond à l'ataraxie, à l'aponie, c'est-à-dire l'absence de troubles de l'âme, et l'absence de maux du corps. Épicure identifie quatre grandes craintes qui empêchent l'homme d'être heureux la crainte des dieux, la crainte de la souffrance, la crainte de n'être pas heureux, et enfin la crainte de la mort. Pour parvenir au Souverain Bien, il importe de faire un travail sur ses désirs, afin de ne se préoccuper que des désirs essentiels. Dans la Lettre à Ménécée, Épicure distingue ainsi plusieurs sortes de désirs, qu'il hiérarchise Il y a les désirs naturels et nécessaires », qui sont limités et aisés à satisfaire faim, soif. Ceux-là permettent d'atteindre le Souverain Bien. Il y a ensuite les désirs naturels et non nécessaires », qui peuvent être satisfaits mais qui ne présentent pas de caractère impératif le désir d'une bonne nourriture, par exemple. Enfin, il y a les désirs vains, c'est-à-dire non naturels et non nécessaires la richesse, la gloire, l'honneur. Ces derniers sont causés par des artifices et ne sont synonymes que de souffrance et de dépendance. Pour atteindre le Souverain Bien, donc le bonheur, il faut se contenter des désirs naturels et nécessaires ». C'est dans ce cas que l'on peut atteindre l'ataraxie, c'est-à-dire l'absence de troubles de l'âme. Il faut satisfaire uniquement les désirs naturels — principalement ceux qui sont nécessaires —, tous les autres désirs étant vains. C'est ainsi que l'on peut atteindre l'ataraxie. Ce type de bonheur est très simple, puisqu'il s'agit d'une absence de troubles de l'âme. Il faut fuir les désirs démesurés et privilégier un bonheur simple et modéré. Les désirs selon Épicure Ataraxie Le mot ataraxie », d'origine grecque, signifie absence de troubles ». Il désigne la tranquillité de l' pour les épicuriens, est la paix de l'âme. Elle est atteinte par la limitation des désirs. La voie d'accès au bonheur épicurien passe donc par une limitation des désirs. Le bonheur épicurien n'exclut toutefois pas le plaisir. Épicure en distingue deux types Les plaisirs cinétiques, c'est-à-dire en mouvement ce sont les plaisirs qui remédient à un manque et qui resurgissent toujours après l'état de satiété. Les plaisirs catastématiques, c'est-à-dire stables ce sont les plaisirs qui ne perturbent en rien l'être qui les éprouve, les plaisirs de l'homme qui a atteint l'ataraxie. Le plaisir catastématique correspond à l'état d'absence de douleur ou d'absence de manque. On dit J'ai faim ». La satisfaction qui correspond à l'action même de manger, d'étancher la faim, est un plaisir cinétique. Par contre, le fait d'être repus, le plaisir que l'on peut ressentir à avoir sa faim rassasiée, état qui dure dans le temps jusqu'à la prochaine faim, est un plaisir montre que si ces deux types de plaisirs sont nécessaires, puisqu'il faut bien répondre aux besoins du corps, les plaisirs cinétiques ne doivent servir qu'à maintenir l'état d'équilibre de l'homme heureux. Seuls les plaisirs stables doivent être recherchés pour modèle du bonheur d'Épicure passe donc par une limitation des désirs. Pour atteindre l'ataraxie, il importe de mener une existence faite de choses simples. BLe bonheur stoïcien Pour les stoïciens, l'enjeu n'est pas seulement de limiter les désirs. Il s'agit surtout de ne plus être esclaves des passions pour atteindre le Souverain Bien. Le stoïcisme de l'époque impériale, la dernière époque de ce courant philosophique, est représenté par Sénèque, Épictète et Marc Aurèle. Selon les stoïciens, le monde est régi par une stricte nécessité le cours des choses, ce qui arrive, est totalement hors de notre portée. Seule notre réaction face à ce que nous appelons à tort les hasards » de la vie est en notre pouvoir. Il faut donc apprendre à maîtriser ses passions, et à accepter les événements sans en pâtir. Pour être heureux, il faut que l'homme apprenne à ne désirer que ce qui dépend de lui, car désirer ce qui dépend de ce qui nous apparaît comme un hasard revient à se faire l'esclave de ses passions. Le seul pouvoir qu'a l'homme sur sa vie est le contrôle de ses désirs il lui faut donc supprimer tous les désirs qui dépendent du hasard » et des autres, et ne désirer que les choses qui dépendent de lui-même. C'est par la vertu que l'homme peut atteindre le bonheur. En ce sens, on peut dire que le bonheur ne réside pas dans la recherche du plaisir. La vertu permet d'atteindre un état stable, durable, et réalise l'excellence de l'homme. Au contraire, le plaisir est éphémère et n'élève pas l'homme. Le seul pouvoir qu'a l'homme sur sa vie est le contrôle de ses désirs il lui faut donc supprimer tous les désirs qui dépendent du hasard » et des autres, et ne désirer que les choses qui dépendent de lui-même. Pourquoi rapprocher des choses si dissemblables et même si opposées ? La vertu est chose élevée, sublime, royale, invincible, inépuisable ; le plaisir est chose basse, servile, faible, fragile qui s'établit et séjourne dans les mauvais lieux et cabarets. »La vertu, c'est-à-dire l'excellence qui est propre à l'être humain, permet d'atteindre un état stable, durable, et réalise l'excellence de l'homme. Au contraire, le plaisir est éphémère et n'élève pas l'homme. Le stoïcisme préconise donc d'atteindre le bonheur par la tempérance plutôt que par le plaisir, en rendant son bonheur indépendant du monde extérieur. Le bonheur devient ce qui est visé à travers toutes les actions d'une personne. Il n'est donc pas seulement un état stable, mais une activité c'est en agissant conformément à la vertu que l'homme réalise son essence et trouve le bonheur. En outre, vivre une vie selon l'excellence qui est propre à l'être humain est source de plaisir. L'idée stoïcienne selon laquelle il faut apprendre à maîtriser ses passions et accepter l'ordre des choses a marqué de nombreux philosophes tels que Montaigne ou Descartes. Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde. »Il faut, par un travail de la raison, parvenir à réorienter nos désirs en fonction de ce qui est possible. C'est ce travail sur les désirs qui doit permettre d'être exemple, il ne faut pas désirer la santé, car c'est une chose qui est indépendante de notre volonté ainsi, si on ne l'a pas, on ne sera pas malheureux puisqu'on n'a aucun pouvoir dessus. IIILe désir comme force de l'homme et affirmation de la joie menant au bonheur À contrepied des courants de pensée antiques, pour certains philosophes, le désir peut constituer une force de l'homme et permettre l'affirmation de la joie, ce qui mène au bonheur. ALe désir comme force de l'homme Au lieu de considérer le désir comme un élément empêchant le bonheur, on pourrait tenter de le considérer comme une force. En effet, le désir peut être défini comme ce qui anime l'homme, ce qui le pousse hors de lui. C'est ainsi que Spinoza nous propose de penser le désir comme ce qui pousse l'homme à continuer d'exister. Pour Spinoza, le désir n'est pas quelque chose d'extérieur à l'homme c'est l'expression de son essence. Notre corps et notre esprit ont des désirs qui les incitent à continuer d'exister et à se développer. Il faut apprendre à suivre notre nature profonde, laquelle s'exprime par ces désirs, par cette force vitale qui anime l'être humain. Le Désir est l'essence même de l'homme en tant qu'effort pour persévérer dans son être. »Pour Spinoza, le désir n'est pas quelque chose d'extérieur à l'homme c'est l'expression de son essence. Notre corps et notre esprit ont des désirs qui les incitent à continuer d'exister et à se développer. Il faut apprendre à suivre notre nature profonde, laquelle s'exprime par ces désirs, par cette force vitale qui anime l'être humain. BLa joie comme affirmation du bonheur Si le désir est une force constitutive de l'homme, celle-ci doit pouvoir être intégrée pleinement à sa poursuite du bonheur. En un sens, c'est l'idée que développe Henri Bergson lorsqu'il parle de la joie. Pour lui, la joie n'est pas simplement synonyme de plaisir c'est l'affirmation de la puissance créative de la vie, que chaque individu peut expérimenter lorsqu'il réalise quelque chose. Pour expliquer ce qu'est la joie, Henri Bergson la distingue du plaisir Le plaisir est une satisfaction qui se rapporte à un instant déterminé c'est un état superficiel et léger, qui prend fin rapidement et signifie simplement que l'individu continue de vivre. La joie est une satisfaction qui s'inscrit dans la durée éprouver de la joie, c'est un état dense, durable, car c'est aussi éprouver tout ce passé qui a finalement conduit le sujet à cet état. La joie annonce toujours que la vie a réussi, qu'elle a gagné du terrain, qu'elle a remporté une victoire toute grande joie a un accent triomphal. » L'Énergie spirituelle. Essais et conférencesLa joie est le signe que l'individu est parvenu à se dépasser lui-même. Elle est la preuve de la capacité de l'individu à opérer une création de soi par soi », c'est-à-dire à augmenter son conclure, l'affirmation de la puissance du désir ne conduit pas nécessairement à la souffrance et au malheur. Dans la joie, le désir est créateur et sa force participe à un processus d'affirmation et de construction de soi-même. Il permet à l'homme de se dépasser et l'aide à accéder au bonheur.
Ilcherche à discréditer le Sauveur et l’autorité divine, à annuler les effets de l’expiation, à contrefaire la révélation, à égarer les hommes de la vérité, à contredire la responsabilité de l’individu, à confondre les sexes, à saper le mariage et à inciter à la limitation des naissances (particulièrement chez les parents qui vont élever les enfants dans la justice).
Etbien, ne vous inquiétez pas, cet article a été créé pour vous aider à surmonter certaines appréhensions qui vous empêchent d'atteindre votre potentiel de gaité maximum. Méthode 1
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cherche a faire le bonheur des hommes